Ça rime pas toujours mais bon.
La guerre
Ah que je me languis devant la haine qui hante le monde.
Partout, on peut sentir le sang sur notre terre bien ronde.
Les chevaux meurent tous auprès de leur cavalier,ensanglanté.
Les bâtiments sont enflammés,brûlés et il n'existe pas d'endroit où l'on n'entends pas crier.
Les gens sont envoyés tuer juste pour le pouvoir d'une personne.
Tout le monde est réduit à demander l'aumône.
Depuis longtemps la guerre est un vrai fléau.
Mais il existait avant un âge d'or,on chantait,on dansait et on ne pensait pas à ce que serait l'âge nouveau.
Mais viendra un jour où le bonheur reviendra et on se repentira d'avoir tué tant de gens.
Cela arrivera un jour,nous l'espérons sincèrement...
Les saisons.
L'année, de quatre moments est composée.
Le printemps, où la nature renouvelle ses fruits et ou tombe la rosée.
Quand L'été, source de chaleur inépuisable, se montre ,ces fruits sont détachés délicatement par les hommes qui prévoient la famine pendant les mois à venir.
L'automne apparait alors ,termine l'été et estompe les rires.
Les feuilles tombent alors des arbres qui deviennent gris comme la neige qui suivra.
L'hiver commence quand il n'y a plus de feuilles, , que les animaux sont partis et que les humains restent dans leur lit de peur de déblayer dehors et devoir saisir la pelle.
Il y a longtemps que le poète n'avait pas taquiné sa muse.
Jouer avec ses nerfs telle était sa ruse.
Et la muse, irritée, se mit donc à poursuivre le paresseux.
Il se mit à fuir la vie et la muse vers une autre vie loin de la poésie et des journalistes.
Mais la muse le suivait toujours, dans l'ombre de la nuit suivie par la poésie qui contemplait d'un air triste.
Le poète lui aussi était mélancolique, il regrettait sa vie d'avant.
Mais la muse lui pardonna et lui adressa ces paroles:
Toi, qui à quitté ta passion de toujours pour un nouveau départ tu regrettes sûrement L'univers fabuleux qu'est la poésie, pouvoir courir dans des champs verts d'herbe, voler sans bouger de ton lit cela ne semble t'il pas merveilleux? Mais je te pardonne. Toi sans qui je ne serais pas. Toi sans qui la poésie ne serait pas non plus. Toi sans qui ces champs d'herbe n'aurait pas vécu, une si belle vie, dans l'immensité de ton esprit.